Le catalogue contient la description des principales bases de données en santé publique en France
28 mai 2021
Etude de cohorte visant à identifier l’immunoprévalence et l’immunoprotection des enfants ayant un médecin référent à l’APHP (dans un centre recruteur) ou hospitalisés depuis moins de 5 jours dans des sites pédiatriques de l’APHP et un centre en Guyane et 1 de leurs parents.
Etude longitudinale
· sur la sous-population des enfants et leurs parents positifs en PCR, quel que soit le prélèvement (cohorte principale)
- 3 visites à domicile ou à l’hôpital à court terme (J 7, J15, J45 post début des symptômes ayant motivé l’hospitalisation ou du prélèvement si enfant asymptomatique) visant à évaluer la cinétique de la réponse immunitaire et de la clairance virale
- 2 visites à long terme (6 mois et 1 an) visant à évaluer la cinétique du taux des Ac et l’évaluation de la mémoire immunitaire.
- Dépistage d’éventuelles réinfections par des prélèvements de salive si le patient présente des symptômes compatibles avec une nouvelle infection COVID
- en cas de réinfection authentifiée par PCR salive + SARS-CoV2:
- prélèvement sanguin (caractérisation de la réponse immunitaire humorale et cellulaire chez des patients pauci-symptomatiques) ;
- prélevements de selles, et nasopharynx si accord des parents (infection des différents sites, viabilité du virus, mutations de SARS CoV2) ;
· Sur la sous population des enfants séropositifs ou fortement suspects d’infections COVID repérés lors de la 1ere vague : prélèvement à la rentrée 2020, soit environ 6 mois après l’infection (cohorte associée)
Cohorte famille visant à évaluer la transmission du virus de l’enfant aux autres membres de la famille : 5 visites à domicile post-dépistage positif
07 mai 2021
L'objectif principal est d’évaluer, pour le dépistage de l’infection à SARSCoV-2, les performances d’une stratégie qui combinerait 1) un autoprélèvement salivaire associé à un auto-prélèvement nasal antérieur et 2) un test diagnostique antigénique directement réalisable sur le terrain, en comparaison avec la technique de référence de RT-PCR sur prélèvement salivaire récemment validée par la HAS.
Objectifs secondaires :
- Déterminer la prévalence de l’infection à SARS-CoV-2 dans la population testée par le test de référence;
- Déterminer la prévalence de la circulation des différents variants d’intérêt de SARS-CoV-2 dans la population testée;
- Evaluer l’acceptabilité des auto-prélèvements en fonction de l’âge et des catégories socio-professionnelles;
- Evaluer la praticabilité des deux stratégies de dépistage;
- Evaluer le rapport coût-efficacité de la nouvelle stratégie diagnostique par rapport à la technique de référence (RT-PCR sur salive);
- Renforcer l’adhésion aux gestes barrières et aux consignes d’isolement précoce des cas positifs par la réalisation de tests rapides et par un accompagnement par des personnes sensibilisées à l’approche motivationnelle;
- Evaluer l’accompagnement sanitaire des personnes à l’isolement;
- Evaluer sur un échantillon de sujets dépistés positifs ou négatifs, les connaissances relatives aux gestes barrières et aux consignes d’isolement par l’utilisation des tests rapides et par l’accompagnement des médiateurs de lutte anti-COVID.
23 avril 2021
L'objectif principal est de comparer le taux de mortalité globale des résidents sur une période d'un an (de janvier 2020 à décembre 2020) vivant dans des EHPAD et USLD ayant appliqué un niveau élevé de recommandations pour prévenir l’infection COVID-19 dans l’EHPAD/USLD, au taux de mortalité des EHPAD ayant appliqué un niveau faible de recommandations. Le niveau de mise en oeuvre des recommandations sera jugé 14 jours avant le pic de l’épidémie dans la zone géographique de chaque EHPAD/USLD.
Les objectifs secondaires sont :
- Comparer le taux de décès lié aux cas de COVID confirmés ou suspectés dans les EHPAD/USLD avec un niveau élevé de mise en oeuvre des recommandations de prévention du COVID-19 ; et les EHPAD/USLD avec un faible niveau de mise en oeuvre des recommandations.
- Comparer le taux de décès non lié au COVID dans les EHPAD/USLD avec un niveau élevé de mise en oeuvre des recommandations de prévention du COVID-19 et les EHPAD/USLD avec un faible niveau de mise en oeuvre des recommandations.
- Etudier l’impact économique pour les EHPAD et le système de santé de la mise en oeuvre des recommandations de prévention du COVID-19, 6 et 12 mois avant et après la mise en oeuvre des mesures préventives.
- Analyser l’incidence des événements de santé graves (décès, hospita-lisations) et la survenue de la COVID chez les résidents (vaccinés et non vaccinés), dans les EHPAD et les USLD en France au cours d’une période d’observation de 12 mois (2021). - Analyser la fréquence de la COVID chez les résidents (vaccinés et non vaccinés), dans les EHPAD et les USLD en France en fonction du taux de vaccination contre la COVID chez le personnel des EHPAD et USLD au cours de la même période d’observation. D’un point de vue médico-économique : - évaluer l’impact économique de la mise en oeuvre des mesures de pré-vention appliquées par le personnel soignant des EHPAD, 6 et 12 mois avant et 6, 12 et 24 mois après la mise en oeuvre des mesures préven-tives, en utilisant des analyses coûts-efficacité et l’analyse coût-effica-cité. - Évaluer l’impact économique de la vaccination contre la COVID chez les résidents et le personnel des EHPAD, du point de vue du système de santé et des EHPAD, 6 et 12 mois avant et après la mise en oeuvre de la campagne de vaccination, à l’aide d’analyses de coûts et de rentabilité. Ces données fourniront également des informations économiques indi-rectes sur la tolérance de la vaccination.
- Évaluer l’efficacité de la mise en oeuvre de haut niveau de recommandations visant à prévenir et à contrôler la COVID-19 par rapport à la mise en oeuvre de faible niveau de recommandations visant à prévenir et à contrôler la COVID-19, en utilisant une analyse coût-efficacité à 12 et 24 mois. - Évaluer l’efficacité de la vaccination, à 6 et 12 mois, chez les résidents et le personnel par rapport à l’absence de vaccination, à l’aide d’une analyse coût-efficacité
05 mai 2021
L’étude s’est donnée comme objectif d’enquêter et de documenter la manière dont les populations en situation précaire ont vécu la période d’enfermement induite par la gestion de la crise épidémique de Covid-19 au regard des trois axes suivants : 1) Les effets de la réduction de l’espace public, de l’accès aux ressources et de l’offre de services et de soins limitant la capacité des populations en situation précaire à répondre à leurs besoins, notamment en matière de santé. 2) La manière dont les politiques publiques face à l’épidémie de Covid-19 ont été appliquées - ou non - face aux situations concrètes dans lesquelles se sont trouvées les populations précaires. 3) La capacité des acteurs - dont MSF - à apporter une réponse aux problèmes sanitaires qui se sont posés au sein de ces populations, tant en termes d’épidémie que de besoins sanitaires plus généraux.
Le catalogue contient la description des principales bases de données en santé publique en France
Vous souhaitez faire partager les informations relatives à une base aux chercheurs et experts en épidémiologie et en santé publique?
Partenaires - F.A.Q. - Contact - Plan du site - Mentions légales - Administration - PEF-HD - Mis à jour le 15 décembre 2020 - Version 4.10.05